L’orgue a été construit en 1852 par Claude-Ignace Callinet.
Cet instrument de 20 jeux disposés sur deux claviers manuels de 54 notes et un pédalier de 18 notes qui avait été profondément altéré par Jules Bossier en 1931, a été restauré et restitué dans un état proche de celui d’origine en 1980 par l’atelier de Gaston Kern de Bouxwiller.
Orgue de 2 jeux sur 2 claviers de 56 notes et Pédale en tirasse de 30 notes.
Les deux claviers sont en accouplement permanent et font parler un jeu de Principale 8′ et un jeu de Flûte 8′ à cheminée. La basse du Principale est bouchée, doublée d’un 4′. Il y a aussi un tremblant doux.
Le buffet en épicéa est encadré par deux volets repliable qu’on peut maintenir soit ouverts, soit fermés, sans fausser la façade ; ce qui est assez confortable pour le travail, ou-bien à certaine heures pour ne pas risquer de déranger le voisinage.
Le sommier est en chêne. Les claviers sont en épicéa plaqués en prunier pour les naturelles et en os pour les feintes.
Le tempérament est ici inégal au 5° de coma syntonique avec une quinte juste et deux retournées à la fin du cycle, selon la volonté de M. Rochedreux. Ce tempérament permet d’aborder un vaste répertoire sans trop affadir la musique ni écorcher les oreilles.
Extraits musicaux :
Fond d’orgue de Louis Marchand et Trio de la Suite du premier ton de Louis-Nicolas Clérambault par M. Camille Rochedreux.
2 claviers de 56 notes et Pédale de 30 notes en tirasses. Accouplement réversible.
1° clavier : Flûte 8 à cheminée
2° clavier ; Bourdon 8
Mécanique à pilotes et balanciers en éventail. Claviers à bascules en épicéa, naturelles plaquées en prunier, feintes en ébène. Deux abrégés de ravalement en fer à l’italienne. Accouplements réversible à fourchettes. Mécanique de tirasses à balanciers. Pédalier droit en chêne.
Les archives nous apprennent qu’il existait déjà un orgue dans l’église de Pesmes, au moins depuis la fin du XVII° siècle.
Le 22 février 1725, le Magistrat de Pesmes traita avec Guillaume Mourez, organiste facteur d’orgue installé à Auxonne, pour la construction d’un orgue neuf.
L’orgue de Naisey Les Granges, date de 1859. Il est attribué au facteur Charles Verschneider. Il n’a jamais été modifié et se trouve donc pratiquement dans son état d’origine. Il est classé au titre des Monuments Historiques.
Nous étudions tous nouveaux projets en concertation avec nos clients afin de répondre au mieux à leurs attentes tant un niveau de la composition, du dessin du buffet que pour tout ce qui concerne le confort de la console et bien-sûr aussi les équilibres de l’harmonisation.
L’orgue de Mme Jehanne NICOLAS (titulaire des orgues de Nuit-Saint-Georges)
Orgue de 2 jeux sur 2 claviers de 56 notes et Pédale en tirasse de 30 notes. Accouplement réversible.
Orgue de 2 jeux sur 2 claviers de 56 notes et Pédale en tirasse de 30 notes.
Les deux claviers sont en accouplement permanent et font parler un jeu de Principale 8′ et un jeu de Flûte 8′ à cheminée. La basse du Principale est bouchée, doublée d’un 4′. Il y a aussi un tremblant doux.
L’orgue de l’église Saint-Martin de Chézy-sur-Marne ne comporte pas de signature de son constructeur. En tout cas, les caractéristiques de facture de l’instrument sont tout à fait représentatives de la facture du XIX° siècle dans les années 1850-1860.
La date de construction de cet orgue est inconnue. Le meuble comporte la plaque des frères John et Eugène Abbey de Versailles, fils du facteur John Abbey. Néanmoins, le buffet en chêne, à façade plate très sobre, de même que certains détails de facture, font penser à une réalisation des années 1840-1850.
Orgue de 24 jeux dans le style baroque d’Allemagne centrale. Il vient en remplacement d’un orgue de Jacquot-Lavergne à traction électrique de 1937, situé en tribune et qui a été victime d’un incendie en juin 2011.